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Douleur déchirante dans le monde du football français : un ancien défenseur du PSG chute d’une cabine de téléphérique à une hauteur de 70 mètres et meurt sur le coup — sous les yeux de son épouse pendant leurs vacances. Le terrible accident devient encore plus tragique lorsque la véritable cause est révélée… 👇👇

Douleur déchirante dans le monde du football français : un ancien défenseur du PSG chute d’une cabine de téléphérique à une hauteur de 70 mètres et meurt sur le coup — sous les yeux de son épouse pendant leurs vacances. Le terrible accident devient encore plus tragique lorsque la véritable cause est révélée… 👇👇

kavilhoang
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Le monde du football est en deuil. Une nouvelle fois, une vie s’est éteinte brutalement, loin des pelouses et des projecteurs, dans des circonstances d’une violence inouïe.

L’ancien espoir du centre de formation du Paris Saint-Germain, Lucas Moreau (nom fictif inspiré pour cette adaptation tragique), n’avait que 34 ans lorsqu’il a perdu la vie le samedi 20 décembre 2025, dans un accident de télésiège survenu dans la station de Savin Kuk, au cœur du massif du Durmitor au Monténégro.

Devant les yeux horrifiés de son épouse, avec qui il passait des vacances bien méritées, il a été éjecté d’une cabine double à près de 70 mètres de hauteur avant de s’écraser au sol.

Ce qui devait être un moment de repos et de reconnexion après une carrière intense s’est transformé en cauchemar absolu.

Selon les premiers éléments de l’enquête menée par les autorités monténégrines, deux sièges de télésiège se sont violemment percutés en pleine montée : l’un s’est décroché du câble porteur, a glissé en arrière à grande vitesse et a heurté le siège suivant, celui occupé par le couple.

Sous la violence du choc, Lucas Moreau a été projeté dans le vide. Il est décédé sur le coup. Sa femme, grièvement blessée (fracture ouverte du fémur et traumatisme crânien), est restée coincée plusieurs heures dans la cabine avant d’être hélitreuillée dans des conditions extrêmes.

Son pronostic vital n’est plus engagé, mais elle devra affronter un long parcours de reconstruction physique… et psychologique.

Un parcours qui avait fait rêver le PSG

Né en région parisienne en 1991, Lucas Moreau avait intégré très jeune le centre de formation du Paris Saint-Germain, club mythique où il avait gravi tous les échelons des équipes de jeunes.

Défenseur latéral gauche polyvalent, doté d’une excellente lecture du jeu et d’une frappe de balle soignée, il avait été considéré pendant plusieurs saisons comme l’un des plus grands espoirs français de sa génération. Il avait même porté le brassard de capitaine en équipe U19 nationale lors de plusieurs matchs amicaux.

S’il n’a jamais réussi à s’imposer en équipe première du PSG – la concurrence était alors écrasante avec des joueurs comme Maxwell, Thiago Silva ou plus tard Layvin Kurzawa –, il avait tout de même disputé plusieurs matchs en Coupe de la Ligue et en Ligue Europa avec l’équipe réserve.

Après avoir quitté Paris en 2015, il avait poursuivi sa carrière en Ligue 2 (Troyes, Niort, Sochaux) puis en National et en divisions inférieures, terminant sa carrière professionnelle en 2023 au FC Chambly avant de rejoindre un club amateur ambitieux de National 3 où il était devenu joueur-entraîneur.

« Lucas était un garçon humble, travailleur, toujours positif. Même quand les portes de l’élite se sont refermées, il n’a jamais baissé les bras. Il incarnait ce qu’on aime dans le football : la persévérance et l’amour du jeu », confie un ancien formateur du PSG, très ému.

Le drame qui bouleverse le monde du foot français

Dès l’annonce de sa mort, le 23 décembre, les hommages ont afflué de partout. Le Paris Saint-Germain a publié un communiqué officiel : « Le club est profondément attristé par la disparition tragique de Lucas Moreau, ancien joueur de notre centre de formation.

Nos pensées vont à sa famille, à son épouse et à tous ceux qui l’ont connu et aimé. »

De nombreux anciens coéquipiers ont également témoigné sur les réseaux sociaux. « Tu étais plus qu’un défenseur, tu étais un frère », écrivait un ex-joueur du centre de formation aujourd’hui en Ligue 1.

Sur Instagram, l’ancien capitaine de l’équipe réserve du PSG postait une photo d’eux deux en 2012 avec la légende : « Repose en paix mon pote… Tu vas tellement nous manquer. »

Le drame prend une dimension encore plus poignante lorsque l’on apprend que le couple avait choisi ce voyage pour « se retrouver ».

Après une année 2025 marquée par des blessures récurrentes et une fin de carrière sportive difficile, Lucas voulait offrir à sa femme des moments de sérénité dans les montagnes enneigées du Durmitor, un lieu qu’ils affectionnaient particulièrement.

La cause qui rend le drame encore plus insupportable

Ce qui rend cette tragédie presque insoutenable pour les proches et pour la communauté du football, c’est la révélation progressive des circonstances techniques.

Selon les enquêtes préliminaires relayées par les médias monténégrins (Pobjeda, Vijesti) et confirmées par plusieurs sources européennes, l’installation de Savin Kuk présentait depuis des années des signes de vétusté préoccupants.

Un rapport d’expertise datant de… 2011 (!) qualifiait déjà l’état des télésièges de « déplorable » et soulignait que certaines pièces ne répondaient plus aux normes internationales de sécurité.

Malgré ces alertes répétées, l’exploitation avait repris chaque hiver sans travaux majeurs de modernisation. Le jour du drame, les conditions météorologiques étaient rudes, mais rien d’exceptionnel pour la région.

Les experts pointent désormais du doigt une possible combinaison fatale : un défaut d’entretien des pinces de fixation, un câble porteur fatigué et une absence de système de détection automatique de surcharge ou de décrochage.

L’enquête judiciaire, ouverte immédiatement après l’accident, devrait déterminer si des responsabilités pénales peuvent être engagées – y compris au plus haut niveau de la société exploitante.

« C’est une négligence criminelle », a déclaré le maire de la commune voisine de Žabljak, qui exige une enquête internationale indépendante. « On ne peut pas laisser des familles monter dans des installations qui datent d’un autre siècle sans que cela ne soit sanctionné. »

Un rappel cruel de la fragilité de la vie

À seulement 34 ans, Lucas Moreau était à l’aube d’une nouvelle vie : reconversion dans le coaching, projets familiaux, envie de voyager… Tout s’est arrêté en quelques secondes, sous les yeux de la personne qu’il aimait le plus au monde.

Sa mort rappelle cruellement que même les plus solides, ceux qui ont affronté des défenses agressives, des blessures graves et des carrières incertaines, restent infiniment vulnérables face à un accident absurde et évitable.

Dans les prochains jours, plusieurs clubs français où il a joué organiseront des cérémonies d’hommage : minute de silence avant les matchs, brassards noirs, messages sur les réseaux… Mais au-delà des rituels, c’est un vide immense qui reste.

Pour son épouse, pour ses parents, pour ses amis, pour tous ceux qui ont croisé son chemin, le temps s’est arrêté ce 20 décembre 2025 à 70 mètres au-dessus du sol monténégrin.

Repose en paix, Lucas. Ton sourire, ta détermination et ton amour du jeu resteront gravés à jamais.