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đŸš©đŸ”» DERNIÈRES NOUVELLES : « AprĂšs avoir regardĂ© sa performance hier, je ne pense pas qu’il soit prĂȘt pour cette nouvelle Ă©quipe du PSG, ses jours de gloire sont derriĂšre lui, et s’il ne s’amĂ©liore pas, Luis Enrique devrait le vendre dĂšs que possible », rĂ©vĂšle Thiago Silva, mettant en lumiĂšre le seul joueur du PSG qui peine Ă  retrouver son niveau – ce n’est ni Vitinha ni Khvicha Kvaratskhelia. NOTRE MATCH A CHANGÉ IMMÉDIATEMENT LORSQU’ILS L’ONT ÉLIMINÉ 😞 TOUT LE RÉCIT : LINK 👇👇

đŸš©đŸ”» DERNIÈRES NOUVELLES : « AprĂšs avoir regardĂ© sa performance hier, je ne pense pas qu’il soit prĂȘt pour cette nouvelle Ă©quipe du PSG, ses jours de gloire sont derriĂšre lui, et s’il ne s’amĂ©liore pas, Luis Enrique devrait le vendre dĂšs que possible », rĂ©vĂšle Thiago Silva, mettant en lumiĂšre le seul joueur du PSG qui peine Ă  retrouver son niveau – ce n’est ni Vitinha ni Khvicha Kvaratskhelia. NOTRE MATCH A CHANGÉ IMMÉDIATEMENT LORSQU’ILS L’ONT ÉLIMINÉ 😞 TOUT LE RÉCIT : LINK 👇👇

kavilhoang
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Ce qui devait être une simple interview d’après-match sur Canal+ Brésil a tourné au règlement de comptes à distance.

Thiago Silva, légende vivante du Paris Saint-Germain (2012-2020) et aujourd’hui défenseur de Fluminense, a créé la stupeur hier soir en pointant du doigt, sans le nommer explicitement mais de façon limpide, un joueur actuel du PSG qu’il juge totalement hors du projet de Luis Enrique.

« J’ai regardé le match d’hier (victoire 3-1 contre le Bayern en Ligue des Champions). Franchement, après avoir vu sa performance, je ne pense pas qu’il soit prêt pour cette nouvelle équipe du PSG. Ses jours de gloire sont derrière lui.

S’il ne s’adapte pas très vite, et je ne vois pas comment il pourrait le faire à son âge et avec son style, Luis Enrique devrait le vendre dès que possible, même en janvier. Le club ne peut plus se permettre de traîner un joueur qui ralentit tout le collectif.

»

Le message est d’une violence rare venant de Thiago Silva, d’ordinaire si mesuré et respectueux envers son ancien club. Mais les caméras brésiliennes ont capté la suite, encore plus cinglante : « Dès qu’ils l’ont sorti à la 62e minute, on a vu une autre équipe.

Le jeu est devenu fluide, les espaces se sont créés, les jeunes ont enfin pu s’exprresser. C’était le jour et la nuit. »

Tous les regards se sont immédiatement tournés vers un seul homme : Gonçalo Ramos.

Pourquoi tout accuse l’international portugais ?

Arrivé en 2023 pour 80 M€ en provenance de Benfica avec l’étiquette de successeur de Kylian Mbappé, Gonçalo Ramos, 24 ans, traverse la période la plus difficile de sa carrière parisienne.

Auteur de seulement 6 buts toutes compétitions confondues cette saison (dont 2 sur penalty), l’attaquant portugais peine à s’intégrer dans le 4-3-3 ultra-mobile de Luis Enrique, qui exige des déplacements constants, une participation défensive intense et une capacité à combiner dans des petits espaces.

Hier soir face au Bayern, le constat a été cruel :

19 ballons touchés en 62 minutes 0 tir cadré 0 dribble réussi 4 duels gagnés sur 12 Perte de balle ayant entraîné le but de Harry Kane (52e)

Son remplacement par Randal Kolo Muani a été suivi d’une accélération immédiate : 12 minutes plus tard, Bradley Barcola égalisait, puis Kvaratskhelia et Achraf Hakimi donnaient la victoire au PSG en contre-attaque éclair. Le stade a applaudi la sortie de Ramos… un symbole terrible.

Thiago Silva n’est pas seul à penser ça

Depuis plusieurs semaines, les critiques s’accumulent en coulisses.

Luis Enrique, en conférence de presse après le match d’hier, a refusé de protéger son numéro 9 : « On a besoin de joueurs qui comprennent l’exigence du très haut niveau. Certains mettent plus de temps que d’autres.

» Nasser Al-Khelaïfi, selon des sources internes, aurait déjà donné son feu vert pour une vente dès janvier si une offre supérieure à 50 M€ arrive.

Plusieurs cadres du vestiaire (Marquinhos, Donnarumma, Vitinha) auraient fait remonter leur agacement face à l’attitude parfois distante du Portugais, jugé « trop individualiste » dans les séances vidéo.

Le mercato d’hiver déjà en ébullition

Dès hier soir, les grands clubs anglais se sont positionnés :

Manchester United serait prêt à offrir 55 M€ + 15 M€ de bonus Chelsea, où Thiago Silva garde une influence énorme, verrait en Ramos le remplaçant idéal d’un Nicolas Jackson en difficulté Arsenal songe à lui comme alternative à un possible départ de Gabriel Jesus

Au Portugal, les médias titrent déjà « O regresso a casa ? » en évoquant un retour à Benfica, qui pourrait proposer 45 M€ et inclure João Neves dans l’opération (un joueur que le PSG suit depuis deux ans).

Le clan Ramos tente de sauver les meubles

L’agent de Gonçalo Ramos, Jorge Mendes, a immédiatement réagi hier soir sur Instagram : « Gonçalo est un champion, il a 24 ans, il a marqué 21 buts la saison dernière. Un grand joueur traverse parfois des moments compliqués. Le soutenir, c’est ça être Parisien. »

Mais dans les travées du Parc des Princes, les supporters commencent à perdre patience. Les sifflets qui ont accompagné sa sortie hier soir étaient les plus forts jamais entendus contre lui.

Sur les réseaux, le hashtag #RamosOut était en tendance France moins de 30 minutes après le coup de sifflet final.

Luis Enrique face à un choix historique

En conférence de presse ce matin, l’entraîneur espagnol a été interrogé directement sur les propos de Thiago Silva. Sa réponse, glaciale : « Thiago est une légende ici, il a le droit de donner son avis. Moi, je prends des décisions pour l’équipe.

Si un joueur ne correspond plus au projet, on agit. Janvier est encore loin… mais pas tant que ça. »

Traduction : Gonçalo Ramos joue sa survie au PSG lors des prochains matchs contre Lens, Manchester City et l’OM. Un échec supplémentaire, et le club activera la clause de sortie dès l’ouverture du mercato d’hiver.

Pour la première fois depuis l’ère qatarie, le PSG est prêt à assumer une perte sèche de près de 40 M€ sur un joueur recruté il y a à peine deux ans et demi.

Un message fort envoyé à tout le vestiaire : personne n’est intouchable, pas même celui qui devait être le nouveau visage de l’attaque post-Mbappé.

Thiago Silva, depuis Rio, a peut-être allumé la mèche d’un séisme qui pourrait bouleverser tout l’hiver parisien.