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🚨 DERNIÈRE MINUTE : L’entraîneur de Rennes, Habib Beye, a directement demandé à la LFP d’effectuer un contrôle antidopage sur Khvicha Kvaratskhelia après le match intense d’hier soir. Les résultats publiés ont surpris tout le monde, des supporters aux coéquipiers, et même Habib Beye lui-même, l’obligeant à faire une déclaration totalement inattendue et sans précédent, provoquant une énorme agitation dans le monde du football. Détails dans les commentaires 👇👇

🚨 DERNIÈRE MINUTE : L’entraîneur de Rennes, Habib Beye, a directement demandé à la LFP d’effectuer un contrôle antidopage sur Khvicha Kvaratskhelia après le match intense d’hier soir. Les résultats publiés ont surpris tout le monde, des supporters aux coéquipiers, et même Habib Beye lui-même, l’obligeant à faire une déclaration totalement inattendue et sans précédent, provoquant une énorme agitation dans le monde du football. Détails dans les commentaires 👇👇

kavilhoang
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Dans les coulisses enfiévrées du Parc des Princes, où l’odeur de l’herbe fraîchement coupée se mêle encore à la sueur des gladiateurs du ballon rond, un scandale aux allures de soap opera footballistique vient d’éclater.

Hier soir, sous les projecteurs impitoyables d’une Ligue 1 McDonald’s en pleine effervescence hivernale, le Paris Saint-Germain a laminé le Stade Rennais par un impitoyable 5-0, une victoire qui recolle les Parisiens à un cheveu du leader lensois avant leur duel européen contre Bilbao.

Mais au-delà des statistiques – 65 % de possession, 18 tirs cadrés, une supériorité écrasante –, c’est une performance individuelle qui a volé la vedette et, par ricochet, allumé la mèche d’une controverse inédite : celle de Khvicha Kvaratskhelia, le prodige géorgien du PSG, auteur d’un doublé étincelant qui a laissé les Bretons pantois.

L’entraîneur rennais, Habib Beye – ancien international sénégalais au verbe haut et au leadership forgé dans les arènes de Newcastle et Marseille –, n’a pas mâché ses mots en zone mixte.

À peine le sifflet final retentissait-il, couvrant à peine les huées sporadiques des 47 000 spectateurs parisiens, que Beye, le visage crispé par la défaite, a franchi un cap inédit.

« J’ai demandé directement à la LFP d’effectuer un contrôle antidopage immédiat sur Kvaratskhelia », a-t-il lancé à un parterre de journalistes médusés, sa voix résonnant comme un coup de canon dans le silence post-match. « Son match était… inhumain. Vitesse, endurance, précision chirurgicale.

J’ai vu des choses que je n’explique pas. Pour l’intégrité du jeu, il faut vérifier. »

Ces mots, prononcés avec la gravité d’un procureur, ont instantanément enflammé les réseaux sociaux.

#KvaraDoping a grimpé en flèche sur X (ex-Twitter), cumulant plus de 2 millions de vues en l’espace d’une heure, tandis que les supporters rennais, encore sous le choc d’une humiliation collective, se déchaînaient en memes et théories conspirationnistes.

Beye, nommé à la tête de Rennes en janvier 2025 après le limogeage de Jorge Sampaoli, traverse une saison chaotique : 9e au classement avec 22 points en 15 journées, une série de quatre défaites consécutives avant ce naufrage, et une pression montante de la part d’un directoire breton impatient de résultats.

Mais accuser publiquement un adversaire de dopage ? C’est du jamais-vu en Ligue 1 depuis les soupçons autour de Mamadou Sakho en 2016. Une ligne rouge franchie, qui a propulsé Beye au centre d’une tempête médiatique.

Remontons au déroulé de ce match intense, un véritable récital parisien orchestré par Luis Enrique, où Kvaratskhelia a joué les premiers violons. Dès la 28e minute, le Géorgien – 24 ans, 1,83 m de pure dynamite – a allumé la première mèche.

Récupérant un ballon anodin sur l’aile gauche après une parade décisive de Giorgi Safonov sur un tir de Loïs Openda (prêté par Leipzig au PSG cet été), il a filé comme une flèche, slalomant entre Matthis Abline et Jérémy Jacquet avec une accélération fulgurante.

Sa frappe du droit, limpide et enroulée, a trompé Steve Mandanda, le vétéran rennais, qui n’a pu que regarder le ballon gonfler les filets. 1-0, Parc en ébullition.

Les commentateurs de beIN Sports, emmenés par Daniel Bravo, ont déjà les superlatifs en bandoulière : « Kvara, c’est un cyclone ! Il court comme s’il avait des moteurs dans les crampons ! »

Le second acte n’a fait que confirmer l’emprise. À la 65e minute, assisté d’un Senny Mayulu en feu (auteur du 2-0 à la 42e), Kvaratskhelia a récidivé d’une frappe lourde et lointaine depuis l’entrée de la surface, effleurant le poteau avant de faire vibrer les cordages. 3-0, Rennes à genoux.

Les Rouge et Noir, réduits à 10 après le second carton jaune de Jacquet pour une faute grossière sur le Géorgien, ont implosé : Ibrahim Mbaye a alourdi la marque d’un coup franc magistral (78e), et Gonçalo Ramos a clos les hostilités sur penalty (89e).

Au bilan, Kvaratskhelia : 2 buts, 1 passe décisive, 7 dribbles réussis sur 9, 112 ballons touchés, et un rating Sofascore de 9,7 – le plus élevé de la saison en Ligue 1.

Une performance « extraterrestre », dixit Enrique en conférence de presse, qui a dédié le triomphe à son ailier : « Khvicha est notre étincelle. Il a couru 12,5 km ce soir, plus que n’importe qui. »

Mais c’est précisément cette endurance surhumaine qui a titillé Beye. L’ancien Lion de la Teranga, finaliste de la CAN 2002 et habitué aux joutes physiques, a vu rouge. « J’ai 20 ans de métier, j’ai affronté les meilleurs, mais là… il n’arrêtait pas de sprinter, de presser, de récupérer.

À la 80e minute, il était encore à 100 % ! C’est suspect. La LFP doit agir pour protéger le sport clean. » Sa requête, adressée par téléphone à Vincent Labrune, président de la Ligue de Football Professionnel (LFP), a été prise au sérieux.

Dans un protocole accéléré – une première en France –, un échantillon urinaire a été prélevé sur Kvaratskhelia dans les vestiaires du PSG, sous la supervision de l’Agence Française de Lutte contre le Dopage (AFLD).

Les résultats, publiés ce matin à la surprise générale, sont tombés comme un couperet : négatifs. Zéro trace de substances prohibées. Kvara est clean.

La stupeur a été totale. Les supporters parisiens, déjà en liesse après la victoire, ont vu dans ces résultats une validation de leur idole, surnommée « Kvaradona » depuis ses exploits napolitains.

Sur les forums de L’Équipe, les réactions fusent : « Beye jaloux ? Pathétique ! » tweete un fan du PSG, tandis que les coéquipiers de Kvaratskhelia, comme Ousmane Dembélé et Achraf Hakimi, ont posté des stories Instagram de soutien, avec des emojis poing levé et des captions comme « Mon frère est un pur talent, rien d’autre ! ».

Même au sein du vestiaire rennais, l’ambiance est électrique : Ludovic Blas, capitaine breton, a confié à Ouest-France : « On est sonnés. On a perdu, OK, mais accuser comme ça… Ça nous divise.

» Arnaud Kalimuendo, buteur habituel de Rennes, a ajouté : « Kvara est un monstre, mais c’est du foot, pas du cirque. »

Et puis il y a Beye lui-même, piégé par ses propres mots. Ce matin, lors d’une conférence de presse d’urgence au Roazhon Park – un antre encore hanté par les échos de la défaite –, l’entraîneur a dû s’expliquer.

Devant une salle comble de journalistes, micros tendus comme des baïonnettes, il a lâché une déclaration totalement inattendue et sans précédent : « Je m’excuse platement auprès de Khvicha Kvaratskhelia, de Luis Enrique, du PSG et de tous les acteurs du football. J’ai eu tort de douter publiquement.

Ce n’était pas de la jalousie, mais de la frustration après une lourde défaite. Les résultats sont clairs : il est clean, et c’est un joueur exceptionnel. Pour me racheter, je propose un match amical entre Rennes et le PSG au bénéfice d’une association anti-dopage.

C’est le moins que je puisse faire. » Une volte-face qui a laissé la salle bouche bée. Beye, connu pour son franc-parler – rappelez-vous ses clashes avec Pierre Ménès sur Canal+ –, admettant une erreur ? Du jamais-vu. « J’ai été impulsif, influencé par la pression de la série noire.

Mais le foot, c’est l’honneur avant tout. Kvara mérite le respect. »

Cette affaire a provoqué une énorme agitation dans le monde du football.

La LFP, par la voix de Labrune, a salué la « transparence exemplaire » du processus, mais a ouvert une enquête sur les « accusations irresponsables » de Beye, potentiellement passibles d’une amende de 50 000 euros pour « atteinte à l’image de la Ligue ».

L’UEFA, vigilante, pourrait même impliquer ses propres experts pour un audit des protocoles antidopage en Ligue 1. Au PSG, Enrique a minimisé : « C’est du bruit pour rien. Khvicha est un athlète pur, nourri au khachapuri et à la détermination géorgienne. On avance.

» Kvaratskhelia, discret comme à son habitude, a réagi sur Instagram : une photo de son doublé avec la légende « Merci pour le doute, ça motive. 🇬🇪 #CleanGame ».

Ses stats cette saison – 8 buts, 7 passes décisives en 15 matchs toussaints – parlent d’elles-mêmes : depuis son transfert record de 70 millions d’euros de Naples en janvier 2025, il est le fer de lance d’un PSG double tenant du titre, vainqueur de la Ligue des Champions l’an dernier avec son but en finale contre l’Inter.

Pour Rennes, c’est un coup dur. Beye, sous contrat jusqu’en 2026 avec option, doit maintenant recoller les morceaux d’un vestiaire fracturé. La série noire – cinq défaites en six matchs – s’alourdit d’une polémique qui pourrait miner la cohésion.

« On se concentre sur Toulouse dimanche », a-t-il conclu, la voix chevrotante. « Mais cette leçon nous rendra plus forts. » Les supporters bretons, fidèles malgré la tourmente, ont déjà lancé une pétition pour « soutenir Beye », arguant que sa franchise protège l’éthique sportive.

Sur les ondes de RMC, Christophe Dugarry, consultant impitoyable, a tonné : « Beye a eu tort, mais bravo pour les excuses. C’est rare dans ce milieu de coqs. »

Au-delà du cas Kvaratskhelia – ce joyau géorgien de 24 ans, comparé à un jeune Maradona pour ses dribbles chaloupés et sa vista hors norme –, cette affaire interroge l’intensité du haut niveau.

Le dopage, fléau latent, refait surface dans un football où la science du corps rivalise avec celle du ballon : cryothérapie, jeûne intermittent, injections de vitamines… Tout est permis, tant que c’est clean.

L’AFLD, qui a réalisé 1 200 contrôles positifs en 2024, salue l’initiative de Beye comme un « signal fort ».

Mais pour l’heure, l’agitation est totale : débats enflammés sur C à Vous, éditos assassins dans L’Équipe (« Beye, l’arbitre des ombres »), et même un sketch sur Quotidien où Yann Barthès parodie le coach rennais en détective antidopage.

Tandis que le PSG prépare son choc européen, et Rennes son voyage à Toulouse pour un match de la dernière chance, une vérité émerge : le football est un théâtre d’émotions brutes, où le doute peut virer à la rédemption. Beye a chuté, mais s’est relevé.

Kvaratskhelia, lui, continue de briller. Et la LFP ? Elle veille, dossier en main. Dans ce cirque tricolore, l’intégrité reste le seul dopage autorisé.